mercredi 2 septembre 2009

Gorgonzola by Night

Mercredi deux septembre deux mille neuf. Quatorze heures quarante. L'été met un temps fou à mourir. Il a plu toute la nuit, mais en plein jour, l'eau s'évapore en quelques dizaines de minutes. Sauf dans mes chaussures, qui restent imbibées du jus d'hier soir. Avec mes pieds dedans, ça finira bien par sécher. Floc. Floc.

Mon frère est rentré de vacances, il y a quelque temps déjà. Il a râlé, avant de reprendre en main les choses que je n'avais pas été capable d'assurer pendant son absence. Je ne sais pas me servir d'Excell. J'avais plein de rangements à faire qui ne se sont pas faits tout seuls. J'avais un boulot monstre que quinze heures de travail quotidien n'ont pas suffi à abattre. Mais maintenant, tout va bien, le chef est dans la place, il râle moins, et je peux de nouveau me consacrer à construire des piles de cartons branlantes qui s'effondrent au moindre courant d'air.

La chaleur est moindre, depuis quelques jours, mais pas encore assez. Je maugrée en invoquant l'hiver. Dans trois semaines, je me plaindrai du froid. Le week-end dernier, j'ai passé un samedi en Picardie, pour le mariage d'une cousine, une demi-journée de part et d'autre en Ile-de-France, et mille kilomètres de route sous la houlette de ma belle-soeur. J'ai peu dormi.

Ellipse. Hop. Dix-sept heures cinquante-sept. Les nécessités du travail rendent difficile la rédaction de cette entrée. Je m'y recollerai un jour prochain.

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